Bonne écoute :
Merci aux personnes de Radio Grésivaudan qui ont enregistré pratiquement toutes les conférences du salon : En savoir plus
Les Ateliers Verts du Solaire sur France Inter
Toujours à découvrir, une invention géniale pour cuisiner avec le solaire quelle que soit la météo. Un vrai four de cuisine, mais hybride. Le Four Phoebus
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Le bon prix pour une installation solaire photovoltaïque (mai 2023)
Il est difficile de vous donner le tarif exact d’une installation photovoltaïque, mais je vais tout de même vous donner des pistes pour vous éviter de potentiellement regretter votre investissement.Si vous faites intervenir un installateur, le plus souvent c’est pour un contrat ENEDIS d’autoconsommation avec vente partielle.Dans ce cas quelques précisions :- Vous devez signer un contrat avec ENEDIS afin de bénéficier du tarif de vente « subventionné » c’est à dire à 0.1313€/kWh pour une puissance inférieure ou égale à 9kWc. Vous aurez alors un abonnement annuel à payer d’environ 30 € Ttc/an. Attention pour obtenir ce tarif…
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Super User
L'âge des low tech (Philippe Bihouix)
Ce livre est écrit par Philippe Bihouix, connu pour son approche "low tech" du changement de nos comportements.
J'ai acheté ce livre, je l'avoue, avec peu d'anthousiame car je commence à avoir une sérieuse vision de toutes ces problématiques et des "solutions" que l'on pourrait imaginer, mais bon je me suis dit un peu plus de connaissances sur le sujet ne peut pas faire de mal, et puis je voulais lire un livre de cet auteur.
Alors je l'avoue, je me suis ennuyé. Des livres que j'ai lus récemment et des quelques uns que je vous présente ici, c'est celui qui m'a le moins intéressé.
Evidemment, comme je l'ai écrit plus haut, je commence à maitriser le sujet, donc pour moi une grosse partie du livre est une énième "relecture".
Ensuite, il doit y avoir aussi de ma part un essouflement à la lecture sur le sujet.
Et puis je trouve aussi le livre assez confus...
Oui, il y a la partie constat, mais sur le sujet d'autres bouquins sont bien meilleurs et beaucoup plus précis et documentés (voir : Guerre des métaux rare, ......)
Puis les "pistes" ou idées pour un changement vers les "low tech" (personnellement je préfère parler de "techniques simples" ;-), sont plus idéologiques que pratiques et parfois, trop utopiques (même si ça peut être rafraîchissant).
Bref, je n'ai pas accroché et il m'a fallu de l'obstination pour le terminer.
Du coup, je crois que je vais faire une pause lecture sur le sujet, de peur effectivement de m'ennuyer encore.
Il faut préciser que j'écris ce commentaire au cours de la deuxième semaine de confinement (COVID-19), et je suis moins motivé pour me plomber encore plus le moral !
Dormez tranquilles jusqu'en 2100 ... (Jean-Marc Jancovici)
Jean-Marc Jancovici …
Hou la, j’en vois certains qui tordent le nez ;-)
Pour ceux qui ne le connaissent pas, il passe pour un pro nucléaire et c’est effectivement comme cela que l’on peut aborder le personnage. Cependant, l’ayant écouté quelquefois, je me suis dit que je lirais bien un de ses livres pour vraiment comprendre ses raisonnements, car il faut bien l’admettre il est surprenant !
Donc ….
Et bien effectivement le livre et ses explications sont très intéressantes.
D’une part il confirme, et c’est très bien documenté, le fait que nous ne sortirons pas de ce bazar, comme dirait Arno, sans faire de très gros efforts de consommation (énergie, matière ..etc).
Et d'autre part, il propose des solutions en terme d'énergie, pour régler plus vite le probleme du CO².
L’équation est complexe et semble sans solution.
Il part donc du principe que le nucléaire peut être un morceau de la solution, si l'on prend en compte le fait que le plus gros problème actuel est le CO².
En effet le nucléaire, même si ce n’est pas ma tasse de thé, émet moins de CO² que le charbon ou le pétrole donc CQFD.
Il est aussi réaliste sur les limites de la matière première, l’uranium, et donc la limite dans le temps des centrales actuelles. Il envisage donc d’autres types de centrales (vous voyez un peu lesquelles (EPR), la ficelle est grosse mais pourquoi pas).
C’est mon résumé de la chose, je vous laisse lire le livre pour bien comprendre.
Le seul gros problème de Janco, pour les intimes, c’est que pour lui le nucléaire n’a aucun effet négatif, ne fait pratiquement pas de morts même quand il y a des accidents graves comme ceux que l’on a connus et c’est vraiment la le GROS défaut de Janco.
Ben oui parce qu’il y croit et il défend le truc.
Le problème c’est qu’en lisant on voit bien la limite, il s’efforce de trouver des sources d’information multiples pour les domaines autres que le nucléaire, pour avoir des explications objectives, mais quand le sujet est le nucléaire, il filtre les documents qui sont pour lui les seuls a être réalistes et indiscutables !
Bref le raisonnement sur le CO² se tient, mais pour ce qui me concerne la pilule est vraiment difficile à avaler sur le sujet du nucléaire.
Evidemment des scientifiques bien informés ne mettraient pas trop longtemps à mettre en pièce certaines affirmations un peu trop inexactes.
Au final, une bonne lecture tout de même car certaines informations, y compris sur le nucléaire, sont pertinentes, et notamment l’épuisement de la ressource, mais la perspective d’une énergie nucléaire avec des risques acceptables .. ben là non désolé Janco, je n’y crois pas !
Comment tout peut s'effondrer ( Pablo Servigne , Raphaël Stevens)
Un livre sur la collapsologie, l’étude de l’effondrement possible de notre civilisation écrit par Pablo Servigne et Raphael Stevens.
Il est intéressant, documenté, même s'il date de 2015 les faits n’ont pas vraiment changé, bien au contraire.
Il permet de bien poser les choses avec des références scientifiques et donc de comprendre vers où on se dirige, a priori.
Pour ce qui est du constat sur notre gourmandise énergétique et matérielel, le livre de Guillaume Pitron est plus pointu, donc à lire en priorité de mon point de vue.
Personnellement, je retiens de ce livre une chose qui me semble essentielle, nous ne résoudrons pas les problèmes individuellement et notre fonctionnement humain fait que seul le regroupement peut nous permettre de gérer l’avenir. C’est du moins mon interprétation de sa « conclusion » .
Pour moi cela fait vraiment écho avec les demandes que je reçois de plus en plus sur l’envie d’être autonome énergétiquement, tout en utilisant abondamment la technologie solaire photovoltaïque + batterie, ce qui est pour moi un contresens.
Bref, si vous n’avez encore rien lu sur la collapsologie, ce livre est une très bonne entrée en matière.
Faut il viser l'autonomie énergétique ? (conférence)
Si vous le souhaitez, vous pouvez ré écouter la conférence que j'ai donnée le 7 mars dernier au salon Primevere sur ma vision de l'autonomie énergétique en utilisant le solaire photovoltaïque.
La conférence dure environ 40mn et il y a quelques questions par la suite.
(Quelques petits cafouillages de ma part entre puissance et énergie mais rien de méchant juste un peu de stresse ;-)
Nouvelle condition de garantie des Micros onduleur Enphase(juin 2019)
Une nouveauté depuis juin de cette année (2019), j’étais passé à coté, c’est une personne qui a suivi un Atelier sur le photovoltaïque puis qui a auto installé un système qui me l’a fait remonter.
Depuis Juin 2019, les Micro Onduleurs Enphase IQ7 et IQ7+ sont toujours garantis 25 ans mais … à la condition que l’on achète aussi la passerelle Enphase !
C’est quoi donc ?
Un boitier à connecter sur Internet qui discute avec les Micro-onduleurs et qui envoie des données chez Enphase … mais comme vous le savez c’est pour votre bien !
Grâce à cela vous avez accès à un joli espace Web où vous pouvez voir de jolis graphiques de votre production.
Cela seulement pour 295€Ttc !
Ils abusent vraiment car en auto consommation, comme nous l’apprenons lors de nos Ateliers, on va installer souvent 2 ou 3 panneaux donc un coût total de 1000 à 1500€, ça représente donc un surcoût de 20 à 30% pour seulement un graphique et des données qui partent vers une société privée.
Si jamais vous ne prenez pas la Passerelle, les Micro-onduleurs sont alors garantis 5 ans seulement.
Enphase explique qu’ils font cela pour mieux nous dépanner à distance s’il y a un problème … ben voyons, c’est gagnant pour eux et perdant pour nous, quoi !
Vraiment ça m’énerve … donc je suis en train de regarder pour utiliser d’autres marques.
Bref pour moi, cela confirme que petit à petit le photovoltaïque va se verrouiller et risque d’être un mouchard de plus et pourquoi pas une taxe de plus sur la production si on suit cette direction ….
Solaire Diffusion
Solaire diffusion vend des solutions solaires et nous vous conseillons leurs produits, notamment pour le thermique.
Ils ne font pas simplement de la vente en ligne, ils sont disponibles et pertinents dans leurs propositions.
Ils vendent aussi des kits complets très bien adaptés à l’auto installation.
Le matériel est de bonne facture et les tarifs bien placés.
Vous pouvez d’ailleurs bénéfier d'un petit coup de pouce financier si on vous donne quelques conseilles ;-)
Association Oxalis
C'est l'écocentre de Savoie – Réseau d'éco et d'auto-constructeurs
Nous partageons les mêmes valeurs et nous intervenons chez eux pour donner des formations.
Retrouvez toutes les informations sur leur association : http://www.oxalis-asso.org
Attention aux énergies dites « renouvelables », le cas du photovoltaïque:
Il faut vraiment faire attention à ce mot « renouvelable » qui est tout de même souvent utilisé abusivement. Dans le cas du photovoltaïque, si effectivement on récupère de l’énergie sous forme d’électricité « gratuitement » du soleil, il faut vraiment prendre en compte l’énergie qu’il faut pour fabriquer un panneau, l’onduleur (appareil qui transforme le courant pour le rendre compatible avec le courant de nos maisons), les câbles ..etc
On ne compte pas les batteries, on reste sur une analyse d’un système sans stockage.
Longtemps j’ai répété qu’il fallait en gros 3 ans pour être à l’équilibre, c'est-à-dire le moment où le panneau aura produit autant d’énergie qu’il en a fallu pour le fabriquer.
J’avais trouvé ce chiffre sur Internet, sans vraiment plus de détails.Mais un jour j’ai voulu vraiment comprendre d’où venait ce chiffre, et comment il avait été calculé.
J’ai fini par trouver la réponse sur une étude commandée par Hespul, que l’on peut lire ici : https://fr.calameo.com/read/00438920584455e424423
C’est un document qui date de 2009, et on peut imaginer que même si les techniques ont un peu évolué il reste très pertinent.
Il explique en détail comment on fabrique des cellules photovoltaïques et au final combien coute en énergie, mais pas seulement, un système photovoltaïque branché sur le réseau.
Voici une partie du résumé :
Résumé de la synthèse sur l'ACV photovoltaïque
Parmi les sources documentaires disponibles en langue française, une synthèse de publications scientifiques relatives aux procédés de fabrication et à l'impact environnemental des systèmes photovoltaïques a été élaborée par Hespul en 2009. Les procédés de fabrication décrits sont la réduction carbothermique de la silice dans un four à arc, le raffinage du silicium solaire par procédé Siemens (voie gazeuse chlorée), la cristallisation du silicium en lingots et la découpe des plaques, la fabrication des cellules photovoltaïques par dopage, polarisation et traitement anti-reflet, l’assemblage des modules par encapsulation dans un feuilleté verre/EVA/Tedlar®, et enfin l’installation du système comprenant câblage et onduleurs. Les analyses du cycle de vie vont de l’extraction du quartz à la production d’électricité 30 ans durant, hors fin de vie des systèmes, avec un remplacement d’onduleurs. Le mix énergétique de la fabrication est de type UCTE région Europe de l’Ouest.
La fabrication nous révèle une consommation de silicium de 10 à 15 g/Wc, des éléments toxiques présents à l’état de traces (Pb, Br, B, P), l’utilisation de métal aux ressources limitées (Ag), et une dépense énergétique conséquente due à l’aluminium et au silicium (40%). Elle occasionne la génération de rejets chlorés, de boues chargées en silicium et de gaz et d’effluents provenant de l’utilisation de produits chimiques.
Les résultats de l’analyse du cycle de vie sont que l’énergie est l’impact majeur, avec environ 30000 MJ d’énergie primaire par kWc, soit 2500 kWh d’énergie finale. Pour caractériser les effets sur l’environnement d’un système photovoltaïque, les indicateurs pertinents sont le temps de retour énergétique, qui est d’environ 3 ans, et l’effet de serre, en g CO2-eq/kWh.
Les avancées technologiques identifiées qui permettent de réduire ces impacts concernent la production de silicium solaire avec l’utilisation d’un réacteur à lit fluidisé au lieu d’un réacteur Siemens ou la voie métallurgique (Elkem Solar). Les recommandations de mise en œuvre sont de privilégier des modules sans cadre aluminium et d’installer les systèmes dans les règles de l’art afin d’optimiser leur production (orientation, inclinaison, ombrages, ventilation, onduleur performant, suivi de la production etc…). L’étape suivante sera la mise en place d’une filière de recyclage.
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On retrouve alors ce fameux chiffre de 3 ans, CQFD me direz vous !
Oui mais …
Mais il est écrit que l’étude se base sur la production du système (cellules, panneaux..etc) avec un mix énergétique basé sur des industries installées en Europe de l’ouest, c'est-à-dire en gros chez nous ou nos voisins, et ça change tout !
Ca change tout parce que je ne vais rien vous apprendre en vous disant que 99% (voire plus) des cellules sont fabriquées … en Chine, de même pour les onduleurs ..etc
On n’est alors pas du tout sur le même mix énergétique et vous imaginez bien que la gourmandise des systèmes de production en Chine n’a rien à voir avec les nôtres.
Je ne vais pas non plus vous faire un dessin sur le type d’énergie utilisée (charbon, pétrole ..etc). Je ne fais pas plus de dessin sur les normes de pollutions des entreprises qui fabriquent ces systèmes dans ces pays.
Pas de dessins non plus sur les « normes » sociales de ces pays qui permettent la fabrication à bas coût.
Donc quoi ?
Donc au final ce chiffre de 3 ans est biaisé, et je n’ai pas réussi à trouver une étude qui prend en compte ces lieux bien identifiés où sont produits nos panneaux et onduleurs.
Il faut donc vraiment relativiser ces 3 ans et on peut largement le multiplier par quoi 2, 3, 4 ?
Sans compter que le transport supplémentaire n’est pas pris en compte.
Et … continuons de lire le résumé, même si je vous invite à lire le document en entier.
On trouve cette phrase : « La fabrication nous révèle une consommation de silicium de 10 à 15q/Wc, des éléments toxiques présent à l’état de traces (Pb : plomb, Br : Brome, B : Bore, P : Phosphore) l’utilisation de métal aux ressources limitées (Ag :Argent) et une dépense conséquente due à l’aluminium et au silicium (40%). Elle occasionne la génération de rejets chlorés, de boues chargées en silicium et de gaz et d’effluents provenant de l’utilisation de produits chimiques. »
Imaginez que la production se fait dans des pays qui ne sont par très regardants sur la pollution, ni comment et par qui ils sont manipulés et vous aurez alors à mon avis une bonne vision de ce qu’engendre l’utilisation de systèmes photovoltaïques. Et là, nous ne parlons même pas des batteries que l’on voit débarquer à grande vitesse.
N’en jetez plus :
On ne parle pas non plus dans ce document des dégâts environnementaux liés aux mines pour l’extraction des matériaux dans les autres pays du monde !
En conclusion :
Cette énergie photovoltaïque dite « renouvelable » est donc de mon point de vue à utiliser en connaissance de cause, et il faut vraiment prendre conscience que si la pollution ne se retrouve pas directement chez nous, elle est bien quelque part !
Pour ma part, je pense qu’il faut vraiment limiter l’utilisation photovoltaïque, bien définir son projet et prendre en compte les problèmes expliqués ci-dessus.
Enfin, faut-il se réjouir de la baisse des prix du photovoltaïque et des batteries ?
Je vous laisse réfléchir à cela….
Que faut-il alors utiliser comme source d’énergie ?
Question difficile, et j’essaierai de faire prochainement un article dans ce sens.
On peut seulement se rappeler que l’énergie la moins chère, économiquement et écologiquement, est celle que l’on ne consomme pas !
Solaire thermique en novembre (Rhone-Alpes à 650m)
Nous voici donc à la « mauvaise » saison du solaire avec un soleil bas et une présence réduite. C’est aussi la saison où nous consommons un maximum d’énergie, les journées étant plus froides et plus courtes.
Mais des deux constatations il ressort aussi une conclusion intéressante, c’est une période où, quand le soleil est là, il permet de récupérer beaucoup d’énergie via le solaire thermique pour le chauffage.
En effet, le principe est de stocker l’énergie solaire dans un ballon tampon, enfin le plus souvent, et comme ce ballon baisse rapidement en température la nuit pour chauffer la maison, au petit matin il est généralement assez froid.
Du coup, dès que le soleil arrive sur les panneaux, on récupère tout de suite de l’énergie, puisqu’on est rapidement dans les panneaux à des températures bien supérieures à la température moyenne du ballon tampon.
Ce qui fait que si la journée est belle, on peut récupérer d’importantes quantités d’énergie.Un petit exemple chez moi à la maison, le système arrive à récupérer autour de 50 kWh en une journée. Pour vous donner une idée,
l’équivalent de 50 radiateurs électriques de 1000W qui fonctionneraient en continu pendant 1 heure !
Voici un exemple sur la journée du 20 novembre 2019
-En bleu la température extérieure.
-En rouge la température dans les panneaux.
-En violet la température en haut du ballon de 1500 l
-En vert la température au milieu du ballon
-En jaune la température en bas du ballon.
On voit qu’au matin le ballon était à une température autour de 30°C, et que vers 15h la température du ballon (haut et milieu) est montée à plus de 55°C.
Pour cette journée, on a récupéré exactement 48.9kWh d’énergie !
Pas mal tout de même, non ?
En résumé, même si il y a moins de belles journées, quand elles sont là et même s’il fait froid dehors, on récupère beaucoup d’énergie via le solaire thermique pour le chauffage.
Retour sur une première : Stage chez Oxalis
Les 7, 8 et 9 novembre dernier, j’animais pour la première fois une formation solaire pour l’association Oxalis (https://www.oxalis-asso.org/). Deux journées sur le solaire thermique et une journée sur le photovoltaïque en autoconsommation.
Pour l’occasion, j’ai refait les présentations et retravaillé le contenu, surtout du solaire thermique.
Au final, il y avait 8 personnes pour les deux jours sur le solaire thermique, et 10 personnes pour la journée sur le photovoltaïque.
Je dirais que tout c’est très bien passé, puisque Samuel de Oxalis m’a confirmé que je reviendrais l’année prochaine pour de nouvelles dates et au vu des avis postés sur le site les personnes présentes étaient satisfaites : lire les avis
Merci à Oxalis pour ce nouveau partenariat, et plus particulièrement à Samuel pour son accueil et la cuisine ;-)