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Il est difficile de vous donner le tarif exact d’une installation photovoltaïque, mais je vais tout de même vous donner des pistes pour vous éviter de potentiellement regretter votre investissement.
Si vous faites intervenir un installateur, le plus souvent c’est pour un contrat ENEDIS d’autoconsommation avec vente partielle.

Dans ce cas quelques précisions :
- Vous devez signer un contrat avec ENEDIS afin de bénéficier du tarif de vente « subventionné » c’est à dire à 0.1313€/kWh pour une puissance inférieure ou égale à 9kWc.
   Vous aurez alors un abonnement annuel à payer d’environ 30 € Ttc/an.
   Attention pour obtenir ce tarif de vente, l’installation doit obligatoirement être faite par un artisan agréé RGE/Quali PV.
- Jusqu'à 3kWc, vous bénéficiez d’une TVA réduite à 10%.
- En dessous de 3kWc, les bénéfices de vos ventes ne sont pas imposables, au dessus oui.
- Le contrat est signé pour 20 ans et le tarif de vente n’évolue qu’en fonction de l’inflation, et pas du coût de l’énergie.
- Une installation de X kWc ne produit pratiquement jamais cette puissance, toujours au dessous. Par exemple 3kWc ne veut pas dire que vous produirez 3kW au mieux ! (ça sera toujours en dessous, sauf cas très rare)

Combien investir ?
C’est une question pas forcément très simple car la réponse dépend de vos attentes.
Toutefois, si votre idée est de rentabiliser « rapidement » votre investissement, voici quelques réflexions :
- Pour un investissement sur une production d’énergie, il n’est pas rare que la rentabilité financière soit autour de 15 ans.
- Pour que votre installation soit la plus rentable possible (financièrement) il faut absolument que vous auto-consommiez un maximum, car vous économisez environ 0.20€/kWh alors que la vente vous rapporte seulement 0.1313€/kWh. Il est donc primordial de bien savoir quand vous consommez et combien pour faire correspondre cela avec la production solaire !
- Votre installation ne fonctionnera pas quand il y a une coupure électrique. Cela est normal, c’est une sécurité pour les intervenants techniques du réseau.
Petite parenthèse : l’ajout de batteries est de notre point de vue une absurdité financière, et surtout écologique !

Le bon prix :
Voici une piste de calcul : un tarif autour de 2.5€/Wc est correct.
Par exemple, si vous faites installer 3kWc, soit 3000Wc, le coût devrait se situer autour de : 3000 x 2.5 = 7500€Ttc (matériel et pose).

Aide :
Vous bénéficiez de subventions :
- Si vous installez jusqu’à 3kWc = 500€/kWc
- En dessous de 9kWc = 370€/kWc

Une installation en autoconsommation avec vente partielle est-elle pertinente ?

Impossible de vous le dire, comme ça en 2mn, déjà que je fais toujours des écrits trop longs pour un format Web, alors si je m’embarque dans des explications détaillées….
Ce qui est certain, c’est qu’il faut bien comprendre comment le photovoltaïque fonctionne ! Pour ça, je ne peux que vous conseiller un petit Atelier chez nous ;-)
Je vous conseille surtout de prendre votre temps, de ne surtout rien signer rapidement, de ne pas donner au commercial qui passe des documents trop personnels, vous aurez bien le temps de le faire par la suite si vous trouvez la proposition intéressante.
Nous proposons aussi des études complètes et indépendantes, alors oui elles coûtent 200€, mais si c'est pour vous faire économiser des milliers d'euros, le jeu en vaut la chandelle ....
Surtout, il existe d’autres solutions d’installations du photovoltaïque, d’autres systèmes solaires, et il faut là aussi prendre le temps de comprendre tout cela !

En conclusion,  venez aux Ateliers, vous apprendrez, vous éviterez de faire des bêtises et souvent vous réaliserez de belles installations et de belles économies.
Et tout ça dans une bonne ambiance !

Voila donc un dilemme qui se transforme parfois en querelles de clochers.
J’ai souvent été confronté à cette question et sur le site de l’APPER, l’association où j’interviens en tant que modérateur, cela fait à chaque fois débat.
A chacun ses arguments, qui je dois bien le dire, sont souvent plus ou moins valables, mais surtout chacun veut défendre son point de vue et .. je ne suis généralement pas en reste ;-)
Alors à force et en prenant le soin d’écouter chacun des deux camps, je vais ici essayer de faire le point et de vous expliquer pourquoi ce n’est pas simple, et qu’en fait tout le monde a raison !

Pourquoi tout le monde a raison ?

Parce qu’il ne peut pas y avoir une réponse affirmative et un choix définitif, car cela dépend au final du choix personnel de chacun !
Avec ça me direz vous, nous ne sommes pas très avancés !
C’est vrai, nous ne sommes pas très avancés car pour répondre et faire son choix je pense qu’il faut prendre le temps de faire un joli tableau dans lequel chacun mettra des croix, ce qui lui permettra d’affiner ses besoins et contraintes, et au final de choisir son système !

1- La limite du solaire thermique :
par définition, cette technique ne peut produire que de la chaleur, donc on ne peut « comparer » les deux technologies que si on se limite à l’utilisation de chaleur : eau chaude sanitaire ou chauffage.
Vous me direz cela fait donc du photovoltaïque une solution plus polyvalente puisqu’on peut se servir de l’électricité pour bien d’autres applications. C’est exact, donc oui le photovoltaïque est moins limité en utilisation.

2- La facilité d’installation :
Restons objectif, si on installe quelques panneaux photovoltaïques en auto-consommation, là aussi pas de doutes, c’est plus simple qu’une installation thermique, même si aujourd’hui une installation thermique ne nécessite pas de connaissances particulières en plomberie, pas de soudures par exemple.
Mais il reste vrai que de « tirer » du câble est toujours plus simple que de « tirer » des tuyaux.

3- Sécurité d’installation :
bon comme je le dis à chaque fois, je préfère faire de la plomberie que de l’électricité, au pire on finit mouillé !
Dans le cas de l’électricité, même si les systèmes sont les plus sécurisés possible, attention, ça reste tout de même quelque chose de possiblement dangereux. Donc surtout ne rien faire sans comprendre et surtout à la moindre hésitation : ne pas faire !
Et dans tous les cas prendre un maximum de précautions, la première étant de ne jamais toucher au réseau sans avoir préalablement tout disjoncté.

4- Performance :
Aïe ! on va commencer à toucher les arguments qui peuvent vite partir en cacahouètes :-)
Pour faire simple et précis et sans discussions possibles : pour la même surface d’exposition au soleil, un capteur thermique récupère plus de puissance, en gros de 2 à 3 fois plus. Mais il suffit de mettre plus de surface de photovoltaïque pour obtenir le « même » résultat (lire le reste pour voir l’incidence de mettre plus de panneaux)
Avec très peu de soleil un capteur thermique aura bien du mal à monter en température (sauf le cas de tube mais que je déconseille) , alors que le photovoltaïque pourra tout de même « fonctionner ». Attention tout de même à bien relativiser. Dans les deux cas on parle de systèmes solaires et si vous avez des panneaux photovoltaïques on peut dire que la puissance récupérée par un panneau quand il y a très peu de soleil est quasiment négligeable, de l’ordre de l’inutilisable, quelque Watts au m² et quand je dis quelque Watts c’est genre 5W donc bon, soyons honnête, quand il n’y a pas de soleil … les systèmes solaires ne fonctionnent pas.

5- Financièrement :
Actuellement il y a tellement de vente de photovoltaïque que les prix ont énormément baissé. La recherche a aussi permis de faire baisser les coûts de production. Donc on peut dire qu’à puissance égale le photovoltaïque est moins cher, mais il faudra mettre plus de surface. Là aussi, si on compare réellement et que l’on cherche donc à faire de l’eau chaude avec un système photovoltaïque, au final les coûts sont pratiquement équivalents, avec un petit avantage au PV.

6- Ecologiquement :
bon là, il n’y a pas photo, ou alors il faut être de mauvaise foi.
Le thermique est beaucoup plus écologique à la fabrication.
Il est aussi possible d’acheter des systèmes 100% fabriqués en France donc avec peu d’impact pour le transport, ou au pire fabriqués en Europe.
Pour le photovoltaïque pratiquement la totalité des cellules sont faites en Chine.
La technologie demande une part plus importante d’énergie grise, plus d’utilisation d’eau et plus de pollution de l’air et de l’eau.
Beaucoup de panneaux, les moins chers, viennent de Chine. On peut toutefois acheter des panneaux assemblés en France ou dans un autre pays d’Europe si on veut minimiser les impacts écologiques.

7- Socialement :
Là aussi pas de match, les cellules photovoltaïques étant fabriquées pratiquement totalement en Chine, on ne peut pas espérer que les travailleurs soient correctement rémunérés ni correctement employés. Cela explique aussi le coût final.
Pour le thermique évidemment, si vous optez pour des panneaux faits en France, on est sur une autre dimension sociale !

8- Recyclage :
Bon alors c’est durable, « vert » et recyclable tout ça ?
Dans le cas du thermique, on parle de matériaux simples : acier, cuivre, verre trempé et isolant plus ou moins bon (laine de roche le plus souvent). Un démontage facile et un recyclage simple.
Pour le photovoltaïque, c’est plus compliqué.
On sait recycler pratiquement à 100% un panneau mais avec un coût énergétique élevé… pour le moment on ne le fait pas réellement, le coût financier est trop élevé et le coût du silicium est tellement bas que ça n’intéresse pas grand monde de recycler. Beaucoup de panneaux sont en partie démontés : l’aluminium, les câbles, le plastique mais souvent le duo verre+ cellule est broyé et par exemple utilisé dans les routes. Bon, c’est mieux que rien….
Le verre est lui-même assez difficile à recycler, car pour avoir une bonne performance de l’antimoine est utilisé et c’est un poison pas simple à récupérer. Bref oui, c’est possiblement recyclable, mais pas totalement génial pour le moment.

9- Administrativement :
Pas photo non plus.
Du côté du thermique, vous aurez au maximum une déclaration de travaux à faire et dans le cas d’une installation au sol (hors zone des bâtiments de France) vous n’avez même pas à faire cette déclaration.
Pour le photovoltaïque c’est plus « compliqué ».
Vous avez comme précédemment une déclaration de travaux à faire, sauf si c’est au sol.
Mais en plus vous devez déclarer votre installation à ENEDIS et choisir le type de contrats : vente totale, vente partielle, auto consommation totale.
Dans certains cas cela entraîne le passage du Consuel.
Bref, il faut être un peu informé pour bien penser à tout.

10- Réparabilité :
Les systèmes photovoltaïques sont pratiquement impossibles à réparer on est davantage dans des solutions « jetables ». Il n’est pas possible de réparer un panneau, difficile ou impossible de réparer un onduleur, je ne parle même pas des batteries.
Côté thermique, pratiquement tout est réparable et faisable soi-même.
C’est un système plus low-tech donc plus simple à rendre autonome côté maintenance.

 11- Fiabilité :
On a moins de retour d’expérience pour le photovoltaïque, on verra dans 30 ans si les panneaux et les onduleurs auront tenu les promesses de garantie.
Par contre on peut dire qu’un panneau photovoltaïque est rarement en panne, un onduleur un peu plus mais cela reste assez fiable mais .. pas réparable.
Côté thermique, le système est plus soumis à des problèmes de type plomberie, c’est à dire des fuites.
Le plus souvent c’est très simple à réparer. Il y a plus d’éléments donc objectivement ça peut tomber en panne plus souvent. Mais objectivement aussi tout est réparable et une installation est partie pour durer plus de 40 ans sans problème, on a un assez bon retour là-dessus. Il faut surtout que l’installation sauf bien faite et correctement dimensionnée.

12- Surplus d’énergie :
Il n’y a pas photo, le photovoltaïque, s’il y a du surplus, peut être utilisé sur le réseau pour vos voisins, sauf à installer des systèmes qui empêchent cela (quel intérêt ?).
Côté thermique, le surplus peut poser un problème de surchauffe, il faut donc bien penser les installations et tout ira bien. Mais pas de surplus pour les autres.

13- Retour sur investissement :
Bon, là c’est difficile à dire, cela dépend de beaucoup de facteurs, mais si on considère que vous faites vous-même l’installation et qu’elle est correctement dimensionnée des deux côtés vous pouvez avoir un retour sur moins de 10 ans.

14- Autonomie :
Le mot est souvent employé de façon erronée à notre sens. Pour nous c’est la recherche d’une autonomie de maintenance qui est primordiale. Dans ce cas le thermique est bien une solution d’autonomie.
De plus, attention, toutes les installations photovoltaïques doivent obligatoirement se couper s’il n’y a plus d’électricité sur le réseau (norme VDE 01) et même avec des batteries, sauf bien évidemment dans le cas des sites isolés.
Cela veut dire que s’il y a une coupure électrique le fait d’avoir des panneaux photovoltaïques ne vous aidera pas.
En thermique, si on utilise une pompe, c’est le même constat.
Cependant vous pouvez faire une installation thermique en thermosiphon pour produire de l’eau chaude et dans ce cas, même sans électricité cela fonctionne, il n’y a pas de pompe, donc pas de régulation …..

Conclusion :
Voilà, je pense que j’ai fait le tour et que je suis resté le plus objectif possible.
Donc à vous maintenant de choisir en fonction de vos convictions, de vos besoins et de votre niveau en bricolage ;-)

Il existe aussi à nos yeux une solution intéressante, c’est de choisir les deux technologies.
Elles peuvent être complémentaires si le projet est bien pensé.
Et c’est bien le sens des Ateliers que nous proposons sur ces sujets.

Diagrammes solaire pour latitudes de 42°Nord à 51°Nord

Un petit point sur cette délicate question qui me revient souvent : « est-ce qu'un panneau photovoltaïque est bien recyclé ? ». Je profite de ce mois de juillet 2022 pour faire un point sur cette question, suite au hors série de la revue « Photovoltaïque – Réseau & autoconsommation » qui a consacré son numéro de juin 2022 à ce sujet.

La plupart du temps, vous trouverez une réponse du genre : oui, c'est recyclé à plus de 90 % !
Je vous fais cadeau des chiffres entre 90 % et 99%, car 90% c'est déjà pas mal.
Alors évidemment si on s'arrête là, on se dit que c'est plutôt très bien et que ouf, on n'a pas à se soucier de ce problème.
Mais il y a de mon point de vue un petit, voire gros mensonge ou un manque d'explications.
J'imagine que pour vous, comme pour moi, quand on vous dit que « c'est recyclé », vous imaginez le panneau désassemblé, les matériaux triés puis retraités et réutilisés pour d'autres usages, non ?

Alors si c'est ce que vous imaginez, et bien non, ce n'est pas cela le recyclage à plus de 90% que l'on nous vend !
Le fameux recyclage consiste juste en :
- Un démontage du cadre en aluminium pour un recyclage pour réutilisation, comme on l'imagine, et c'est bien...
- Une découpe des câbles pour là aussi récupération de la partie cuivre, très bien....
- Et le reste : la vitre, le dessous du panneaux, les cellules..etc, en fait la plus grosse partie du panneau ... Elle est broyée et enfouie sous les routes !

C'est ça, le recyclage à plus de 90%....

Alors oui, j'imagine que ce n'est exactement ce à quoi vous pensiez ; et est-ce qu'enfouir des « déchets » sous la route peut être considéré comme du recyclage ?


Attention, si vous parlez avec un expert, il peut vous dire que ce n'est pas vrai, qu'il y a des sociétés qui arrivent à recycler, pour de la réutilisation.
Alors oui, mais là aussi, il y a une part de vérité mais il y a un manque de précisions.
Car oui cela existe, il y a des sociétés qui travaillent sur ce sujet et qui arrivent à récupérer pour réutilisation mais ... il y a un MAIS
Comme ces technologies ont un coût très élevé et que pour le moment le silicium et le reste des matériaux d'un panneau ne coûtent pas très cher, cela n'est pas « rentable » financièrement (évidemment, écologiquement oui) et donc ces sociétés n'ont pas de marché et n'intéressent pour le moment pas le marché (vous savez, le truc qui fait le jour et la nuit).
Alors dans l'avenir, un jour, plus tard, peut être que oui. Quand il y aura une masse importante de panneaux à recycler, il y aura peut être un « intérêt » financier.

Vous allez me dire, que c'est tout de même dingue puisque par exemple il est facile de recycler le verre de la vitre d'un capteur photovoltaïque, ça le verre on sait faire, tout de même ?
Alors oui mais non !
En fait, il est très difficile et coûteux, et une fois le verre séparé et bien on est très embêté car dans le verre il ya un petit produit spécial pour éclaircir le verre,  de l'antimoine, qui justement empêche la réutilisation du verre par les filières normales.

Pendant les Ateliers, les formations, j'explique que le photovoltaïque c'est très intéressant et très utile mais avec parcimonie et pertinence, svp.
Entendons nous bien et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : le Photovoltaïque, pour moi, c'est mieux que le nucléaire, l'énergie fossile ..etc

Mais ce qui est bon pour la planète, c'est de ne pas augmenter l'extraction de matériaux, de ne pas consommer d'énergie quelle qu'elle soit, ou d'en limiter les usages.

Voilà, vous savez ce qu'il en est, maintenant faites au mieux ....

Voilà un livre passionnant !

Il retrace l'histoire de l'énergie, mais pas forcément comme on nous la raconte souvent.
On peut lire que différentes techniques étaient possibles au cours du temps, et que ce ne sont pas forcément les solutions les plus logiques qui ont été choisies, ou du moins pas celles que l'on aurait pu espérer !
Cela dit, il est toujours facile de refaire l'histoire...

Ce livre nous permet de mieux comprendre comment l'évolution s'est faite, que le progrès n'a pas toujours été synonyme de mieux !
Même, contrairement à ce que je pensais, longtemps des énergies alternatives comme les moulins ou l'utilisation d'animaux ont résisté face aux énergies fossiles.

Si vous êtes passionné de solaire, d'éolien, d'énergies "renouvelables" et de leur histoire, alors lisez ce livre.

J'ai relevé une citation d'Hannah Arent qui date des années 50 : " Le progrès et la catastrophe sont l'avers et le revers d'une même médaille"
Bonne lecture.

Cette fois, c'est une grande malette magique pour déplacer tout le matériel nécessaire aux Ateliers sur le solaire thermique.
Un grand "Fly case" qui donne l'impression que l'on va animer un concert de musique, mais qui permet de ranger tout le matériel de formation.
La petite invention c'est que le "fly case" simule aussi le ballon d'eau chaude et donc sert aussi de support pour la formation .... malin, non ?
En tout cas, ça change la vie et c'est très pratique.

Et oui dans le monde du solaire on n'a pas de pétrole, mais on a des idées ;-)

Voilà la malette magique pour que le matériel utilisé lors des  Ateliers photovoltaïques soit plus facile à transporter.
Jusqu'à maintenant, on s'embêtait un peu à transporter tout le matériel necessaire aux formations sur le photovotaique dans les différents lieux, il y en avait plein la voiture, en vrac.
C'est aujourd'hui de l'histoire ancienne !
Ce n'est pas une, mais deux malettes magiques que nous avons créées.
La première est faite pour les Ateliers sur deux jours (autoconsommation et optimisation)  avec beaucoup de détails et de matériels, la deuxième pour les Ateliers d'une journée (auto consommation) et les salons.
La première est évidemment plus lourde, mais sert aussi de support pour la fixation d'un panneau photovoltaïque.
La deuxième, comme vous pouvez le voir, bénéficie d'une malette de transport haut de gamme avec roulette et tout et tout, avec un poids complet de 16 kg.
Voilà de quoi nous déplacer et venir au plus près de chez vous pour nos prochains Ateliers ;-)

Cette fois c'est une interview complète en directe, que nous avons faite pendant l'émission Carnets de Campagne, diffusée le lundi 7 fevrier 2022 sur France Inter.
On remercie Philippe Bertrand qui est aussi sympathique en interview que dans son émission ;-)
Longue vie à ces moments d'informations alternatifs qui nous montrent de belles actions sur tout le territoire.

Et oui, avec le coût de l’énergie qui augmente, on se dit qu’en fait le solaire thermique c’est pas mal !
Il y a donc actuellement de nouvelles grosses installations qui se mettent en place, notamment pour des réseaux de chaleur collectifs.

Par exemple, pour le réseau de chaleur de Narbonne, ce sont 2.8MWth qui ont été installés. Attention, cela représente 3 232m² de panneaux thermiques !

Ça  me fait plaisir de voir que le solaire thermique revient sur le devant de la scène, car il le mérite bien !  ;-)